Elle
Elle était là, devant moi. Vêtu d’un noir sombre comme la nuit, Le masque couvrant son visage m’apeurait, il était si sombre que même les plus dures crieraient. Moi,je n’avais qu’une mission, découvrir qui était elle vraiment.Un mystère que je me tue à craquer depuis mon plus jeune âge. C’est à ce moment précis que j’ai réaliser dans quel situation je me trouvait. La situation auquel je rêvait tous les jours. Parcontre… les role était inversé. (lire la suite)Je me trouvait ligoté à une chaise, privé de parole pas un vulgaire morceau de «tape», illuminer par la lueur d’un vielle lampe en fin de vie et face à la femme masquée. Elle, elle est devant moi, sans émotions ,sans aucun mouvements et sourtout, sans aucun bruits. On aurait même puis croire qu’elle attendait ma parole. Je ne pouvait rien faire à l’exeption de regarder ce qu’il y avait autour de moi. J’était dans un entrepot, dans le vide total, Aucunes fenêtres, aucunes sorties. Ça y est, je n’avait aucune espèce d’idée de ce qui allait se passer ensuite. Tant de questions me passe par la tête; où sui-je, comment sui-je arriver ici, que ce passe-t-il? Et tant d’autre choses. J’examine les lieux une deuxième fois, mais je n’ai pas le temps de faire le tour puisqu’un bruit horrifique tel le cri d’une victime coupé au couteau m’arrache les oreilles, je me retourne soudainement pour constater que la femme masquée n’est plue vêtue de son accoutrement noir,mais plutôt d’une jolie chemise bleue accompagnée d’un veston blanc. Jusqu’a ce pint, un silence lourd raisonnait dans la pièce. Appart, bien sûr, le cri strident de tantôt. La femme masquée, qui s’avèrait être une jolie jeune dame s’approcha de moi, lentement, les mains le long de son corps. D’un coup sec elle arracha le morceau de ruban adhésif de ma bouche. J’eu si mal que j’ai crié. La panique m’as emporté et j’ai vite compris que je n’était pas en sécurité et que j’était en compagnie d’une des plus grande criminelle de l’histoire. Elle qui avait violé tant de lois, voler tant de choses, sans jamais être découverte. J’ai tout de suite ressenti le danger.
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Tu me suis, pourquoi? dit-elle.
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Vous m’intriguez, c’est l’un de mes plus grands rêve de vous voir devant moi. Dije, d’une voix solide
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Qui èce qui vous dit que je suis la femme masquée, vous n’avez aucune preuve.
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Ête vous la femme masquée?
Sur ces mots, elle s’engagea à retirer son masque, j’entendais mon coeur palpiter plus fort qu’il ne l’as jamais fait. Elle glissa ses deux pouces sous son masque et commença à doucement le relever. J’aperçu ses belle lèvres pulpeuse ainsi que son jolie petit nez.Ses yeux brun étaient si profond et si magnifique j’en perdit les mots.
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Je ne suis pas la femme masquée, je m’appelle Julie. Et comme vous, je cherche la vrai femme masquée. Je vous ai vue, vous et votre travail, vous avez l’air bien déterminé, j’aimerais officiellement vous demander d’être mon partenaire! dit-elle, toute exciter.
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Et pourquoi toute cette mise en scène?dije, surpris
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Je voulais juste voir si vous étiez le bon, je n’aimerait pas tomber sur un bon a rien, vous voyez!
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Écoute Julie, j’aime bien ta mise en scène, ton énergie et ton dévouement, mais je préfère travailler solo.
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Écoute, je ne sais pas pour qui tu te prend, mais tu n’est pas James Bond, OK? Moi j’ai d’autres chats à fouetter et j’ai pas mis en scène ta mort pour que tu me renie. Je ne négocie plus! Désormais, vous travaillez avec moi.
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D’accord Julie, calme toi, moi aussi je met ma mise en scǹe pour ne pas tomber sur un bon à rien. Je vois que tu est très exciter de travailler avec moi alors en route partenaire!
C’est mots dit, je me suis relever, ou du moin j’ai essayer puisque j’avais complètement oublié que j’étais ligoté à ma chaise, ce qui finis en une chute face première vers le sol. Julie ne put s’empêcher de rire de moi. Elle me libéra et nous sommes sortit tout les deux du batiment qui s’avêrait être le sous sol d’un immeuble de travail.Ce qui expliquiat le manque de lumière.